Peintres
Cécilia Luvecce Rouvrais
Quelques propos d’Alain Rouvrais, 2008:
“Ses tableaux révèlent des histoires de liaisons, d’interconnexions, de réseaux, d ’identités rhizomes avec leurs entrechoquements et leurs danses. Des univers se rencontrent, se mélangent, apprennent à vivre ensemble sans se rejeter. Rien n’est figé, c’est la vie avec ses secousses, ses réagencements et ses recompositions internes. Nous pourrions ici parler d’une œuvre inspirée par le kaleidoscope du vivant. (…)
Le minéral, le végétal, le cellulaire et l’universel parcourent les œuvres et donnent ce caractère de flamboyance. Il y a la fois la minutie, le sens des proportions et des formes géométriques et une ouverture à l’expression des flux du vivant qui conduisent à ces effets de surgissement qui donnent sens et force à l’œuvre (…)
De l’abstrait à la galerie de portraits il y a toujours cette flamme inscrite sur la toile qui marque le désir d’aller voir au-delà du miroir. Toujours lá, le souffle d’une quête aux multiples visages et formes. Au centre du labyrinthe se trouve toujours la sortie, ainsi que des semences toujours prêtes à germer et à s’inscrire dans le foisonnement du vivant. Les yeux magnifiques, dans les portraits, dessinent un horizon et marquent/indiquent un cap. Ici microcosme et macrocosme ne s’excluent pas et ne s’ignorent pas; ils sont en continuelle interaction comme pour mieux se nourrir l’un de l’autre. (…)” Alain Rouvrais, 2008.
“Ses tableaux révèlent des histoires de liaisons, d’interconnexions, de réseaux, d ’identités rhizomes avec leurs entrechoquements et leurs danses. Des univers se rencontrent, se mélangent, apprennent à vivre ensemble sans se rejeter. Rien n’est figé, c’est la vie avec ses secousses, ses réagencements et ses recompositions internes. Nous pourrions ici parler d’une œuvre inspirée par le kaleidoscope du vivant. (…)
Le minéral, le végétal, le cellulaire et l’universel parcourent les œuvres et donnent ce caractère de flamboyance. Il y a la fois la minutie, le sens des proportions et des formes géométriques et une ouverture à l’expression des flux du vivant qui conduisent à ces effets de surgissement qui donnent sens et force à l’œuvre (…)
De l’abstrait à la galerie de portraits il y a toujours cette flamme inscrite sur la toile qui marque le désir d’aller voir au-delà du miroir. Toujours lá, le souffle d’une quête aux multiples visages et formes. Au centre du labyrinthe se trouve toujours la sortie, ainsi que des semences toujours prêtes à germer et à s’inscrire dans le foisonnement du vivant. Les yeux magnifiques, dans les portraits, dessinent un horizon et marquent/indiquent un cap. Ici microcosme et macrocosme ne s’excluent pas et ne s’ignorent pas; ils sont en continuelle interaction comme pour mieux se nourrir l’un de l’autre. (…)” Alain Rouvrais, 2008.
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